Pour la défense des enfants en France : Résidence alternée, réformes de l’aide sociale à l’enfance et reconnaissance de l’exclusion parentale
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Nous, soussignés, demandons à l’Assemblée nationale de prendre des mesures urgentes pour la protection et le bien-être des enfants en France. Lors des élections européennes de 2024, pour la 1ère fois en France, une liste de 81 candidats regroupant une douzaine d’associations et de collectifs portant sur la défense des enfants et des droits parentaux s’est mobilisée pour défendre les enfants. Nous soutenons les trois éléments clés de leur programme :
1- Promotion de la résidence alternée : La France affiche un des plus bas taux de résidence alternée en Europe avec seulement 11,4%. Il est crucial de favoriser cette pratique pour le bien-être des enfants de parents séparés.
2- Réforme de l’aide sociale à l’enfance (ASE) : Avec 310 000 enfants placés et des résultats très peu convaincants, il est urgent de repenser et d’améliorer les services de l’ASE pour garantir un meilleur avenir à ces enfants.
3- Reconnaissance de l’exclusion parentale : Il est nécessaire de reconnaître et de lutter contre l’exclusion parentale pour protéger les droits de tous les parents et assurer le développement équilibré des enfants.
Des propositions de loi sur la résidence alternée et des commissions sur les dysfonctionnements de l’ASE ont été initiées depuis plusieurs années, mais elles n’aboutissent jamais. Nous demandons à l’Assemblée nationale de finaliser ces initiatives pour le bien-être de nos enfants.
Signez cette pétition* pour faire entendre notre voix et protéger l’avenir de nos enfants.
A noter que 5000 signatures peuvent suffire pour passer en commission des lois
Extrait :
“Le bureau de la commission des lois du 5 juillet 2022 a décidé que seules les pétitions ayant réuni plus de 5 000 signatures dans un délai de six mois pouvaient être évoquées en commission. Ce seuil est plus généreux que celui de 10 000 pratiqué par la majorité des autres commissions. Du fait du délai de six mois accordé pour l’atteindre, il est logique que nous nous réunissions deux fois par an à ce sujet, au début de la session – mais, en octobre dernier, aucune pétition n’avait encore atteint les 5 000 signatures – et six mois plus tard, c’est-à-dire en avril“
Flyer disponible au format PDF ou PNG
Affiche disponible au format PDF ou PNG
*https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-2378
Article de Presse